Ca se veut realiste, mais la jeunesse des jeunes du XVIe, ca ne concerne qu'un petit pourcentage de la jeunesse francaise. Alors ca l'est surement, toujours est-il que c'est tres long, pas ennuyeux mais furieusement debile et assez demagogique. Les medias ont aime. C'est dur d'etre francais sur ces moments-la. Quelques scenes remontent le niveau, celles sans CHRISTA THERET, JEREMY KAPONE (mon dieu qu'il est nul) et SOPHIE MARCEAU.

Le meilleur gag d'Alad'2 est malheureusement son titre. Le reste du film de Lionel Steketee n'est pas une catastrophe comme Cendrillon, mais d'une affligeante mà (C)diocrità (C). Tout y est plutôt soignà (C), sauf un script qui semble avoir dû s'accommoder de la prà (C)sence de ses stars, ce qui en rà (C)sume en un Jamel Debbouze Show (qui essaie, à dà (C)faut d'être vraiment drôle) entrecoupà (C) d'un buddy movie indigent et rà (C)pà (C)titif entre Kev Adams et Eric Judor. La frontière entre une và (C)ritable suite et un remake du premier est assez tà (C)nue, mais ce deuxième opus ne peut s'à (C)lever au niveau de dà (C)bilità (C) pseudo-rà (C)jouissante du premier. Alad'2 n'est pas un sombre navet mais il aurait peut-être mieux fallu l'être.